











[En construction]
Avril 2024. Je commence un nouvel emploi à Besançon, tout en habitant toujours à Dijon. Je prends donc le train matin et soir – hors de question de faire ces trajets en voiture.
Me voici maintenant un pendulaire. C'est le nom qu'on donne parfois à celles et ceux qui font la navette entre leur ville de travail et de résidence.
À mes oreilles, le terme se prête particulièrement bien aux trajets en train, le TER faisant la navette entre les deux villes, tel un métro.
Arrivé à Dijon il déverse son chargement de passagers, engloutit les bisontins rentrant chez eux, puis repart dans l'autre sens.
Cette série, en construction, vise à documenter et partager l'ambiance de ces trajets quotidiens, ponctués des annonces des gares et du glissement sur les rails.